Ces mots ne m'appartiennent pas.
C'est comme cette conscience qui s'étiole,
Ils ne sont faits que d'apparats.
Espace restreint qui vole et batifole,
Oui ces idées là ne me vont pas.
Contractions d'actes manqués implosent.
Un jour, me promenant dans l'espace temps
Un réverbère, l'air sévère m'apostrophât :
Il y a deux nuits que je t'attends, pourquoi viens-tu si tard ?
Interloqué, du tac au tac, je répondis :
Tu sais, coincé dans mon espace et dans mon temps,
Il y a plus d'un siècle que je t'attends, moi !
Je suis le fard de tes yeux, ne vois-tu pas ?
Répondit-il, l'air blafard et plein d'arrogance.
Alors je compris. Oui, je compris qu'il n'existait que pour moi,
Et je fis ce qu'il souhaitait, telles les lettres de mon moulin,
je lui apportais ce que j'avais de plus précieux : Ma flamme.
Pfft..! Siffla t-il, si je soufflais, ta flamme vacillerait,
Car je le vois bien, tu n'es plus de première fraîcheur,
Alors montre moi donc un peu plus d'ardeur !
A des années lumières de là, mon corps était.
Et pourtant, dans mon lit, en sueur, je vacillais...
Oui, ces mots là ne m'appartiennent pas.
En plein désert, j'étais.
La tête sur le sable,
Je me mis à compter les étoiles.
Le soleil couché s'était installé...
Quand une des étoiles plus brillante que les autres, m'apostropha :
Sais-tu pourquoi je brille ainsi ? Hein ?
Jean-Claude Thévenin
simo---2010, Posté le samedi 02 décembre 2017 13:38
Coucou ... Bonsoir
Le Respect Est Le Lien De L'Amitié
Passe Une Bonne Fin Journée
Une Bonne Soirée ,Une Douce Nuit ,
Doux Rêves ,Bisous